En partenariat avec l’association à coeur d’homme, un regroupement de 31 organismes communautaires spécialisés dans le traitement de la violence conjugale et familiale, ce projet de recherche tend à promouvoir des relations égalitaires et sans violence par la prévention et l’éducation. Concrètement, il vise à mieux comprendre les facteurs de risques (individuels, relationnels, sociaux, contextuels) et les corrélats liés à la perpétration (ou victimisation) de violence conjugale auprès d’hommes en recherche d’aide et auprès de minorités culturelles, de genre et sexuelles.

Plusieurs co-chercheur(e)s sont associé(e)s à ce projet :

  • Claudia Savard
  • Katherine Péloquin
  • Marie-Ève Daspe
  • Marie-France Lafontaine
  • Natacha Godbout

Collaborateur : Yvan Lussier

Ce projet est subventionné par le Conseil de Recherches en Sciences Humaines (CRSH).


Les travaux d’Aurélie Claing, doctorante en psychologie en recherche et intervention (PhD-RI), examinent le rôle de l’empathie et des manifestations de la personnalité dans les liens entre l’expérience de traumatismes à l’enfance et la perpétration de violence conjugale adulte (physique, psychologique, coercition, sexuelle). Elle s’intéresse également aux manifestations de l’empathie dans le temps auprès des hommes en recherche d’aide. Les résultats de ces recherches feront éventuellement l’objet d’articles scientifiques.


Les travaux d’Ariane Audet, doctorante en psychologie en recherche et intervention (PhD-RI), examinent les liens entre l’expérience de traumas interpersonnels à l’enfance, la dysrégulation émotionnelle et les traits de personnalité indésirables chez les hommes en recherche de traitement pour une problématique de violence conjugale sexuelle. Les résultats de cette recherche feront éventuellement l’objet d’un article scientifique.


Les travaux de Sue-Hélène Labonté, doctorante en psychologie clinique (DPs), examinent l’attachement et la régulation émotionnelle comme variables intermédiaires des liens entre les traumas dans l’enfance et la perpétration de violence conjugale. Les résultats de cette recherche feront éventuellement l’objet d’un article scientifique.


Les travaux de Myriam Douadi, doctorante en psychologie clinique (DPs), s’intéressent à l’hostilité envers les femmes et à la régulation émotionnelle comme variables intermédiaires des liens entre l’attachement et la perpétration de violence conjugale. Les résultats de cette recherche feront éventuellement l’objet d’un article scientifique.


Les travaux de Fanny Desbiens, doctorante en psychologie clinique (DPs), examinent les prédicteurs de l’alliance thérapeutique chez les auteurs de violence conjugale. Les résultats de cette recherche feront éventuellement l’objet d’un article scientifique.